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LIBERTAD !
Quelle place tient le concept de liberté dans notre réalité ? Est'il une nécéssité vitale ou le fruit de l'évolution du modél social ds lequelle nous nous exprimons ? Toutes ces intérrogations imposent des éclaircissements quand à la signification, et sur le rapport qu'ils entretienent avec l'étre humains .Mais avant tout, il est bon de rappeler que la société transcende l'individu et non pas le contraire ! Ainsi l'espéce humaine est avant toute chose: grégaire ! Cela signifie que l'humains à besouins du groupe et cette dépendance est fondamentalle. Penser le dévellopement de l'humanité de maniere exclusive à partir du principe d'individuation, est une inéptie . Les relations " feed-back " entre le groupe et l'individu constituent l'alpha et l'omega de l'espéce humaine. L'esquisse déssinée, ou peut'on introduire la notion de liberté ? L'interprétation de ce concept, différe selons les franges du corp social . Pour éxample, si pour les religions monothéistes dieux a octroyé la liberté aux hommes et" déjas moins a la femme "(rire), il en vas tout autrement pour certains philosophe , tel Deleuze, Spinoza qui considérent l'origine des actions humaines comme étant le fruit d'un déterminisme fixé par la Nature . Concomitamment, en économie, la doctrine Capitaliste sous entend que l'homme est responsable de ses actes ( Aléa morale) et que la liberté est consubtentielle à l'homme . Avatare de la modernité, ce concept s'est imposé ds les sociétés les plus modernes au sens ou on le défini communément .En éffet véritable slogan brandi par les acteures, pas tres crédible de la farce sociale , il accumule une somme de malentendu sur sa signification .
On le voit la '' liberté " parrait présente dans divers ségments de ce qui constitue notre architécture mental , elle se ressent, comme un but a atteindre , le Graal qui serait emprisonné par je ne sais qu'elle maléfice ourdient par des forces obscurent voulant asservirent l' homme libre, en lui otant l' attribue " liberté" . En fait, ce serait une qualité consubstantielle a l'humanité qui serait nié par des représentants de cette méme humanité ! Parradoxal comme affirmation .N' y aurrait 'il pas quelques confusions entre divers concepts tel que liberté, autonomie, dictature ,Anarchie, grégarité, démocratie ect...... Que penser du concept liberté lorsqu'il est utilisé par Milton Friedman, chantre du courant néoconservateur , qui vante les mérites du zéro Etat dans les questions économiques et incite les égocentrismes a se dévorer la part du gateau , lequel est fabriqué avec le cadavre de misérables a qui on a annoné qu'ils étaient libre de participer à la gabegie. Cette mystification produite a partire du concept de liberté , mérite une explication sur le comment une telle chose est possible dans nos société qui sont: je le rappel composé d'individu a l'instinct grégaire prédominant .
"Soyez résolu de ne plus servire et vous voila enfin libre " Etienne de la Boetie (1530 1563 ) .Cette maxime sous entend bien que le choix éxiste entre la liberté et l'asservissement, pensé cela est pour moi un racourci dont se nourrissent allégrement les sophistes de tout temps.En éffet tout les présuposés des tenants de l'idéologie capitaliste, nous surinant les oreilles avec des imprécations de ce type, induisent dans leurs schémas la notion de liberté. L 'homoéconomicus qui peuple cette planète est le fruit d'un conditionement savamment organisé par une élite politico-financiere , qui organise la société en fonction d' aprioris incrustés dans le marbre depuis des siecles .Ainsi le concept " de la main invisible " d' Adam Smith n' est rien d' autre qu'une introduction de dieu comme seul ordonateur des marchés financier, l' Etat n' ayant quand a lui qu' un role de gendarme. Reméttre en cause ses dogmes est présenté comme une atteinte a la liberté de l' individu, laquelle est je le rappelle un postula qui n' a rien d'une évidence .Mais continuons la démonstration ; toute la structure de l'édifice repose donc sur l'idée que l' homme est née libre et que par la méme ces actes sont le fruit d'un libre arbitre. Il serait donc responsable . Poser la problématique différemment cela revient a dire que l'humain posséderai le " géne de la liberté ", la liberté serait innée . L' origine de cette apriori est évidement d'ordre religieux .La génése nous dit que l' homme est libre de choisir et qu'il est responsable de ses actes . Injécté cette inéptie et en faire l' alpha et l' oméga de toute la doctrine économique qui habille le capitalisme, permet de justifier comme moral toute les infamies produites depuis la nuit des temps par les puissants . Il n y a qu' a observé l'actualité pour étayer cette démonstration (crise financiere 2008). Observons de plus prés l'argument ontologique produit par les prétres " l'innéité de la liberté " ! L'artifice est facilemment démontable , il suffit de se pencher sur ce qu' il faudrait pour posséder un jugemment libre . Un systéme critque devrait des la naissance étre opérationel et permettre à l'enfant d'étre judicieux dans ses choix car capable de choisir de maniere équilibré sa position parraport à un choix landa . Personne de sensé , ne peut soutenir de tel propos, bien que certains politiques veuillent ramener la responsabilité pénal a l'age de 13 ans .Chez les humains une période de maturation est nécéssaire pour atteindre un age qui permette la critique . On a donc un conditionement social continu qui s'opére sur l'enfant . Jusque la point de liberté prononcé chez l'enfant, il est mu par un systéme de valeur qui est la synthése de son environement, d'ou le besoin " d'un accompagnement adéquat " . Lors de l'éveille critique, a l'adolescence, celui-ci se trouve bardé d'un fardeau que lui ont généreusement imposé ses proches . Les valeures instillées de gré ou de force aurront un impact sur ses choix futures, qu'il le désire ou pas . La nature humaine impose une réaction a toute action . La liberté de choix est donc, la aussi, absente puisque les diréctions choisies ne sont que des diréctions imposées préalablement, résultat de réaction a des stimulies qui répondent à des valeures profondéments incrustées dans la psyché. Ce déterminisme ne peut étre évité par aucun individu, ces un cheminement naturel chez l'espéce humaine . A l'age adulte, au mieux nous pouvons identifier une partie du fardeau, et nous en allégé par un long travail de déconstruction ; lequel est le résultat d 'acquis de connaissances qui ne sont disponibles que de maniere parcimonieuses ,et doivent donc étre dans un premier temps assemblés, puis synthétisés. Si on applique cette dynamique de déconstruction, on obtient" des espaces de libertés " et donc de l' autonomie dans nos vie .On le voit nous somme loin de la liberté affiché comme un caractére consubstentiel à la nature humaine, par les marchands du temple et autre prétres inféodés au pouvoir politico-financier qui régit depuis la nuit des temps nos société .
L'ESSENCE DE L' IDEE DE LIBERTE
Et pourtant, si la liberté n'a pas de réalité physiologique, son idée est omni-présente dans la psyché de chacun . Peut on en déduire quelle flotte dans l'air et quelle ne demanderait qu'a étre saisie . Mais si elle est désiré par tout a chacun, ces bien qu' elle a été identifiée . A quoi ressemble t'elle ? Quelle est donc cette abstraction qui semble étre devenue l'objectif fondamental de nos éxistance, tout au moins au pays des nantis ?.Quelle fonction joue t'elle dans l'évolution de la société et de l'individu.
Tel l'enquéteur face à une scéne de crime, isolons les protagonistes et tachons d'identifier le role de chacun . 3 acteurs majeurs sont en rapport avec l'idée de liberté . Il s'agit de l'individu, la société , et l'espéce humaine. Ce sont les troix bases d'un triangle qui représente le réel qui nous est accessible .Les multiples rapports entre ses différents acteurs de la réalité produisent un mouvement perpétuel dans lequelle baigne l'humanité : c'est ce que je nomme la triangulation. L'idée de liberté est un flux qui voyage dans cette espace .Son contenu est difficilement définissable . Cela pourrait étre le résultat d' un rapport entre la nécéssité que détermine la société, et la représentation de la nécéssité de l'individu .Le résultat je le nomerais coéfficient d'autonomie . Pour exprimer la teneur des termes ci-dessus, j'aimerai rappeler un truisme : un sujet induit un objet . Ici, l'individu est le sujet et la liberté l'objet. Nous savons que l'individu génére une subjéctivité qui n'est rien d'autre que "sa représentation du monde " et pour connaitre la représentation de" sa nécéssité " il faudrait déplier sa subjéctivité et ainsi nous pourrions voir les valeures qui sont ce qui le détermine . Cela réalisé, ne resterais qu'a le mesuré au déterminisme de la société, lequel n'est que les contraintes imposé aux éléments qui la constitue .La perspéctive établie, nous pourrions établir sa résistance aux stimulis que génére la société qui le conditione et ainsi déterminer sont coéfficient d'autonomie. Ce qui ressort de ce constat, ces que loin d'étre un caractére innée , l'idée de liberté n'est qu'un rapport entre la contrainte sous toute ses formes et l'égo .De plus si la problématique mérite d'étre posée dans le cadre d'une relation (individu-société),elle n'a aucun sens dans une relation (indvidu- espéce)ou (société- espéce); car l' individu et la société ne sont que les cotés du triangle dont la base forme l'espéce .
Quand à l'idée pure de liberté, elle est très certainement le fruit de l' Emergence, ce mécanisme naturel nourri le réel par des combinatoires .Ainsi les conséquences du progrés social, et les nouveaux besouins ont été le térreau qui a permis la naissance de l'idée de liberté .Ce constat est visible lorsque l'on observe l'histoire des hommes ; qui n'ont eu de cesse que de lutter pour le control de la nature environante .De ces temps éloignés bien peux de témoignage sont disponible, mais il est peut propable que l'idée de liberté fut présente . Elle apparait il ya 2500 ans ~~ en Gréce de maniere embryonaire et constitue alors un anachronisme .Elle connait un éssor relatif avec l'empire Romain, puis tel un virus s'endort et ne réapparait qu'avec le siecle des lumieres et se matérialise au grand jour lors de la Révolution francaise de 1789. Des lors plus rien ne pourra inversé le mouvement, qui suit une courbe exponentielle .En effet si l'on fait un bilan du monde d'aujourd-huis, on ne peut que constater la présence de la forme démocratique, sous plusieure formes, et sur tout les continents de la planète .Ainsi on peut raisonablement affirmer que la démocratie qui représente l'idée de liberté a l'échelle des sociétés, ne peut plus étre remis en question comme modél de gestion le moins nocif pour l'animal social qu'est l'humain aujourd'huis . Et pourtant quelle est la réel teneur en liberté dans notre démocratie ?
La liberté on l'a vu n'a rien d' inée chez l'étre humain, elle est la conséquence d'un nouveau besouin, lié a la croissante compléxification des sociétés humaines .L'évolution de l'espéce humaine semble indéxée sur le Progrés scientifique . Lequel, nécéssite une constante transformation des codes sociaux et moeurs dominants .Ainsi avec la fin du moyen age, on voit le déclin des valeurs pronant la force brute et parrallélement l'apparition de l'intélléctualisation des élites . Lentement la diffusions des connaissances se propage dans toute la société ; provoquant une révolution invisible au sein du corp social. Ce véritable séisme, provoque des boulversements qui libérent des energies nouvelles, issuent de "l' homo-intéllectuelus " . L' individu voit son avénement, et prend conscience de son altérité. Le frottement des plaques progréssistes et réactionaires, fissure le socle ou étaient encré les piliers sociaux. La religion perd de l'influence dans les cercles du pouvoir, les nouveaux prétres sont les savants et autre léttrés qui concurencent la prééminence du pouvoir sacerdotale . Les inovations téchnologiques favorisant les échanges commerciaux et les idées, la philosophie devient incontournable dans les cours des palais . Le droit se compléxifie et devient un repére des injustices . Mais il faut un taux d'alphabétisation conséquent pour voir une diffusion des théses libertaires au sein des élites commercantes qui deviendront" la bourgeoiserie " . Ce mouvement vers la démocratie n'est pas un long fleuve tranquille, la frange de la société dominante ( noblesse et clergé) réagie et éssaye de maintenir ses priviléges, notamment en laissant la majorité de la population dans l'ignorance la plus noire . Néanmoin, tel l'eau suintant à travers les fissures, la liberté, produit du mouvement progréssiste, se propage dans les conciences nouvellement individuelle ; et les éffets se font ressentires dans toute les strates de la société .La justice doit s'adapter et les injustices les plus criantes sont dénoncées et combatu . Le " petit peuple" commence à réclamé l'égalité devant la loi et remet les priviléges en causes . La riposte est naturellement puissante, tout les artifices sont utilisés pour étouffer dans l'oeuf toute les véillités de remise en question de l'ordre établi .Les forces dirigeantes instillent subrépticement dans l'univers des sphéres en réaction, des modéles de pensé qui ont pour objéctif de capter l'énergie libérée par le progrés et la confiner dans un récéptacle. Ainsi l'adoration de la royauté ne fonctionant plus , les élites inventent la Nation .Ce concept s'impose dans les consciences comme le nouveau parradigme, à partir duquel le Citoyen doit penser ses libertés. Le drapeau symbole du pays, mérite tout les sacrifices . L'individu se voit de nouveau ficelé et abruti par une propagande qui trouve un publique prés a consommer ses inépties . La bourgeoisie peut tranquillement dévelloper sa puissance et controler la faune des laissés pour compte, que produit le capitalisme . Ce capitalisme qui se développe de maniére anarchique, enrichi une sphére composé d'individu qui augmentent leur richésse au détriment du reste la société . Si ce phénoméne est possible, cela est la résultante de multiple facteurs qui sont ontologique et sociologique, tel la nature passionelle de l'étre humain, son instinct grégaire, ou bien la recherche complexe de la satisfaction de son égo .De plus la lutte pour le contole du groupe social, par les dominants, a l'aide de stratagémes de plus en plus compléxes adapté a l'évolution des masses , crée des tensions de plus en plus forte .L' individu est souvent broyé par la machine social qui consomme un nombre faramineux d'entre eux pour satisfaire le besouin de l'espéce,qui est sa conservation. Et la liberté individuelle dans tout cela ? Elle éxiste et est tres notoirement réduite a s'éxprimé, dans les société démocratiques, de maniére succinte lors d'éléctions ou l'offre est aséptisée .
LE DEVENIR DE LA LIBERTE
Il est évident pour les raisons que j'ai éxposé précedemment, qu'un parrallélisme éxiste entre les courbes d'évolutions du progres téchnologiques et de la liberté individuelle . Cette impréssion se démontre tres simplement par l'axiome suivant : "une société qui privilégie un développement téchnologique, doit perméttre a ses éléments un dévellopement de leurs autonomie." Ce prédicat a pour conséquence que les systémes rigides ne peuvent durer et doivent s'adapter ou disparaitre .Pour étayer cette affirmation il n' y a qu'a observé la quasi disparition en occident des formes de régime politique dictatoriaux . Certe le troupeau est encore bien gardé, mais la liberté dans un monde ou pour les sociétés les plus évolué téchnologiquement et ou les besouins primaires pour l'immense majorité sont assuré, est devenu un besouin incontournable . Dans toute les strates de la société, la liberté est devenu une valeur étalon et ce malgré les tentatives de l'étouffer sous des monceaux de leurre et autre écran de fumé . La nécéssité de l'ingrédient liberté est devenu éssentiel pour assuré la périnité de l'éspéce. Il semble que l'avenir de l'humanité passe par un dévellopement d'outils de plus en plus compléxe, qui doivent permettre a l'homme de continué son évolution et sa conquéte d'espace de vie . Les projéctions dans l'avenir sont toujour flou, mais il parrait improbable que les acquis d'autonomie puisse étre en danger, car cela signifiérait que le progrés téchnologique serait confié a une intélligence artificielle qui pourrait alors asservire l'homme a son tour . Cette hypothése méme si des auteurs de science fiction l'on dévellopé, est a mon sens peu propable, mais pas impossible
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